La « balzanella » est une façon de préparer la sauce pour assaisonner les pâtes (rigoureusement des linguine, car elle prennent bien cette sauce ;-) originaire de la région de Naples, en Italie.
Elle est à préparer quand on trouves des bonnes tomates cerise bien mûres, qui sont le secret principal pour obtenir cette sauce très gouteuse.
« Mais c'est juste un plat de pâtes avec des tomates » me diriez-vous. « Héhé, mais c'est un Seigneur plat de pâtes, typiquement italien » je vous réponds « une fois que vous y aurez goûté vous ne pourrez plus vous passer de la Balzanella ! ».
En plus d'être un plat très savoureux et ensoleillé, la Balzanella représente bien la clé de la cuisine italienne : des ingrédients de bonne qualité et des cuissons rapides et simples qui exaltent les produits.

Le bouillon à infuser Ariaké fait partie des "10 incontournables dans ma cuisine", comme je vous avez raconté dans cet article (clique).
Pour la deuxième année consécutive, Ariaké a organisé un grand concours de recettes autours de ses bouillons à infuser, en partenariat avec 750 grammes.
Cette année Joël Robuchon - qui soigne personnellement les recettes et les produits de la marque - a eu l'idée de faire une grande finale à l'école Ferrandi de Paris, afin de voir et goûter les cinq recette finalistes réalisées par leurs auteurs, en compagnie d'un jury d'exception.
En plus de cela, lui et lui seul, sans personne d'autre, sélectionnera les 5 recettes finalistes parmi toutes celles qui participent au concours.
Quant à moi, cette année aussi, comme l'an dernier, j'ai contribué à l'organisation de ce concours pour la partie concernante 750 grammes, mais aujourd’hui j'enlève cette casquette pour être une participante de ce concours parmi les autres, vu que - comme je l'ai dit plus haut - il n'y aura que Joël Robuchon en personne qui regardera les recettes participantes une à une et sélectionnera ses 5 finalistes.
Pour rendre hommage aux bouillons à infuser Ariaké dans mon assiette, j'ai pensé à un voyage entre l'Asie – pays d'origine des bouillons à infuser – et mon pays d'origine, l'Italie.
C'est avec cet esprit que j'ai eu l'idée de réaliser de tagliatelles de bouillon aux crustacés (si, si.... il s'agit de tagliatelles faites de bouillon, pas de pâtes) et des knödel, qu'en Italie on appelle « canederli » et qui sont typiques du Trentin-Haut-Adige.
Mes canaderli sont aux gambas, pour rester sur le thème des crustacés choisis pour mes tagliatelles de bouillon.
L'assiette est une entrée composée, mais en augmentant les doses peut très bien devenir un plat.

Les « canestrelli » (à ne pas confondre avec les canistrelli corses) sont des petits biscuits sablés italiens, typiques de la Ligurie, parfumés à la vanille et caractérisés par leur forme de marguerite avec un trou au milieu.
Le nom de ces biscuits dérive du mot « canestri » (paniers en italien), les récipients où anciennement on les disposait après les avoir cuits.
Je prépare très souvent la version originale, qui est l'une des mes recettes préférées de biscuits : la voilà (clique) réalisée à une époque où je ne possédais pas encore l'emporte-pièce en forme de marguerite qui permet de donner aux canestrelli leur forme typique.
Je me débrouillais avec d'autres moyens, jusqu'au moment où mon amie Pascale m'a offert le bon emporte-pièce.
Depuis, mes Canestrelli ont enfin la bonne forme :) et j'aime les offrir aux invités qui viennent à la maison ou en faire un cadeau gourmand.
La version des Canestrelli que je vous propose cette fois, pour changer de la version originale, est celle du Piémont : il s'agit une variante au cacao que les piémontais réalisent en remplaçant une partie de la farine avec de la farine de maïs.
J'ai personnalisé cette version en utilisant de la fécule de pomme de terre à la place de la farine de mais, afin de rendre les Canestrelli encore plus fins et friables.

...à siroter en lisant le n° 10 de Yummy magazine !

Avec la vague de canicule que ces-jours-ci enveloppe la France, l'Italie et une bonne partie de l'Europe il n'y a rien de mieux qu'une boisson glacée pour se rafraîchir, n'es-ce pas ?
La boisson que je trouve la plus désaltérante, avec le thé glacé, c'est sans doute la limonade, qu'avec son goût sucré et acidulé en même temps, arrive bien a apaiser la sensation de soif et de chaleur.
Dès que l'été arrive, elle ne manque jamais dans mon frigo : la préparer soi-même est simple et le résultat est bien meilleur des limonades qu'on peut trouver dans le commerce.
Je vous propose ma recette chouchou pour préparer la limonade « maison », où il y a une touche de fraîcheur en plus grâce à la présence de la menthe.  
Et si en sirotant votre limonade vous avez envie d'un peu de lecture, profitez-en pour découvrir le nouveau numéro de Yummy magazine, en ligne depuis quelques jours avec plein d'idées gourmandes pour prolonger l'été, et bien d'autres choses : vous pouvez le feuilleter ici ou télécharger là (c'est gratuit ;-)